Mobilisation des salariés de Trans Cévennes Express, ce mardi matin, devant le tribunal judiciaire de Nîmes. Il y a une quinzaine de jours, ils apprenaient leur licenciement par un message sur WhatsApp. Mais faute de liquidation officielle de leur entreprise, basée à Saint-Martin-de-Valgalgues, près d'Alès, ils ne peuvent pas s'inscrire au chômage.