Plusieurs enfants ont accusé en début d'été une atsem de viols et d'agressions sexuelles, ce que la femme mise en cause nie. L'enquête est en cours. Selon l'une des mamans, à dix jours de la rentrée, les parents d'élèves n'ont pas pu entrer en contact avec l'équipe pédagogique ni eu accès à la cellule psychologique promise.