Après les analyses téléphoniques, le chien renifleur. Les détails techniques de l'enquête menée après la disparition de Delphine continuent d'être exposés devant la cour d'assises du Tarn, au quatrième jour du procès de Cédric Jubillar. Et pour les parties civiles, l'hypothèse du départ volontaire ne tient pas la route.