Le massacre avait choqué la France et le Niger, en plein mois d'août, mais il n'avait pas été revendiqué. Un mois plus tard, le groupe Etat islamique reconnait être à l'origine de l'assassinat de 6 humanitaires français et 2 Nigériens. Parmi eux, une Montpelliéraine et une Toulousaine.